2 500 000 heures de reprise
Histoire de la société d'Équitation de Paris
Paul Poursin de Lonchamp égrène les grandes heures de la SEP, cette association sportive créée en plein Paris pendant la Seconde Guerre mondiale. On y croise des célébrités (le général Decarpentry, MM. Borotra, vainqueur de la Coupe Davis et ancien ministre, Herzog, vainqueur de l'Annapurna, François Nourrissiez, Michel Piccoli, [...]
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Auteur : Paul POURSIN DE LONGCHAMP
Editeur : Belin
Date parution : 06/2003Quel est le sujet du livre "2 500 000 heures de reprise"
Paul Poursin de Lonchamp égrène les grandes heures de la SEP, cette association sportive créée en plein Paris pendant la Seconde Guerre mondiale.
On y croise des célébrités (le général Decarpentry, MM. Borotra, vainqueur de la Coupe Davis et ancien ministre, Herzog, vainqueur de l'Annapurna, François Nourrissiez, Michel Piccoli, Laurent Fabius...) et des chevaux hors du commun, par leur talent ou leur dévouement.
Ce livre est un témoignage unique de la pratique de l'équitation depuis la guerre, tout en composant une fresque intimiste de la vie d'un club hippique, avec ses tracas et ses succès. En creux, on y trouve le portrait d'un homme, Paul de Lonchamp, cavalier remarquable et pédagogue hors pair, qui a su faire aimer les chevaux et l'équitation à un nombre impressionnant de jeunes et moins jeunes.
Des photos historiques, émouvantes ou cocasses ponctuent le récit.
Paul Poursin de Lonchamp est Écuyer professeur depuis 1956. Aujourd'hui à la retraite, il a enseigné à la société d'Équitation de Paris pendant près de quarante ans.
Médaille d'argent de l'Éducation physique et du sport, Commissaire de piste national et Officier du Mérite agricole, il a consacré sa vie aux chevaux, en menant plusieurs d'entre eux jusqu'au plus haut niveau de dressage tout en formant des milliers de cavaliers dont certains deviendront célèbres, notamment Barrabas, le fondateur de Zingaro. «Les quelque 25 000 élèves à qui je me suis efforcé de transmettre ce que je savais de l'équitation m'ont donné bien des joies... et quelques angoisses.
J'ai toujours gardé en tête mes propres difficultés de débutant - c'était en 1943 - et n'ai jamais demandé un geste, un effet, une figure qui dépassaient les compétences de chacun.»