Les contributions à cet ouvrage appartiennent à deux champs : celui de l'innovation numérique et technologique et celui de l'éducation.
[lire la quatrième du livre Humanités numériques et éducation en Afrique]
Cet ouvrage obéit à deux pistes d'analyse et de prospection des modernités africaines. La première concerne l'organisation sociale de l'innovation. A voir sa place massive dans les sociétés africaines, le bricolage technologique est loin d'être une pratique marginale. Mais, en Afrique, les savoir-faire bricolés sont rudement éprouvés par les technologies de pointe.
[lire la quatrième du livre Aménagement du territoire et sentiers [...]]
Il n'y a pas de réponse crédible à la désarticulation des sociétés africaines, qui pourrait se passer de la cohérence du rapport entre l'accélération sociale, les traditions en constitution et l'innovation sociale. La notion d'innovation sociale peut servir à interroger la capacité pratique des Afriques à être authentiquement modernes.
[lire la quatrième du livre Accélération et innovation : notions en débat]
Dans la mesure où elle réside dans le pouvoir structurant de la science et de la technique, la technocolonisation institue et reproduit, en général, des rapports multiformes de domination. Elle paraît faire notamment de la volonté de coloniser une dimension de l'histoire.
[lire la quatrième du livre Le technocolonialisme]
