Oncologie
300 sous-colles pour se tester

Quel est le sujet du livre "Oncologie"

Les épreuves classantes nationales sont exigeantes et ne laissent que peu de place à l'approximation. Chaque dossier nécessite précision et détermination.

«    Confiance, sang-froid, agressivité » : telle était la maxime habillement réitérée par un Professeur de ma ville pour booster notre soif de réussir lors de notre préparation.

«    La rage de vaincre, le couteau entre les dents » affirmait-il. Il avait raison.
Rien ne doit perturber l'envie de parvenir à votre but ! Considérez les efforts entrepris comme des concessions et non comme des sacrifices.
Copie sur la table, stylo en main, vous grappillerez le moindre point durant les douze heures d'épreuves.
Les points se gagnent grâce à la connaissance des items mais aussi par méthodologie. Conscients que la différence s'effectuera sur des mots clefs plus ardus auxquels peu auront pensé, vous n'omettrez cependant pas l'évidence que les 7000 autres indiqueront.
Ceci est déclinable pour un diagnostic, une justification, un traitement, une surveillance.
Cet ouvrage a été conçu afin d'assimiler, de façon ludique, des thèmes et détails parfois fastidieux à retenir.
L'oncologie est, pour le reste, fréquemment présente dans les dossiers (chaque année!). Les impasses concernant le module 10 sont kamikazes.
«    Preuve anatomopathologique », « Consultation d'annonce »,
«    Bilan d'extension local, régional et à distance », « Présentation du dossier en réunion de concertation pluridisciplinaire », « Surveillance à vie » figureront impérativement dans les réponses-, au risque de dégringoler dans le classement final.

Les indications de traitement doivent être maîtrisées en fonction de la stadification du cancer comme en témoigne le dossier de néoplasie pulmonaire de 2011 : Stade IIIB avec indication de radiochimiothérapie concomittante. Évoquer une chirurgie entraînait alors une lourde sanction.
Autre conseil pour vos réponses, réfléchissez constamment en qualité de médecin pour un bénéfice attendu du patient.

« Primum non nocere » : ce précepte persiste depuis plus de 2000 ans: Hippocrate l'énonçait déjà en - 410 avant J.-C.
Ceci vous évitera quelques sornettes.

Enfin, travailler efficacement à un rythme régulier est gage de performance; quelle que soit la méthode ! Ne la remplacez donc pas le jour J approchant.
Comme l'avouait Abraham Lincoln, « Mieux vaut ne pas changer d'attelage au milieu du gué ».

Il ne me reste qu'à vous souhaiter beaucoup de réussite pour décrocher votre spécialité.

Baptiste PICHON
Interne des Hôpitaux de Nantes
Oncologie- Radiothérapie