Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques ? - quae - 9782759229970 -
Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques ? 

Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques ?

Le cuivre est utilisé pour contrôler diverses maladies fongiques ou bactériennes, principalement sur vigne, en productions fruitières et en cultures légumières. Il constitue la seule substance active à effet [...]
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Auteur : 

Editeur : Quae

Date parution :

Reliure :
Broché
Nbr de pages :
124
Dimension :
14.5 x 21 cm
ISBN 10 :
2759229971
ISBN 13 :
9782759229970
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Quel est le sujet du livre "Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques ?"

Le cuivre est utilisé pour contrôler diverses maladies fongiques ou bactériennes, principalement sur vigne, en productions fruitières et en cultures légumières. Il constitue la seule substance active à effet fongicide fort et gamme d’action large homologuée en agriculture biologique. Or la mise en évidence d’effets environnementaux négatifs du cuivre, notamment sur les organismes du sol, a conduit à des restrictions réglementaires d’usage (plafonnement des doses autorisées), et même à son interdiction comme pesticide dans certains pays d’Europe du Nord.
De ces restrictions croissantes à l’emploi du cuivre, qui posent des difficultés notamment aux producteurs qui ne peuvent recourir à des fongicides de synthèse, découle une demande récurrente d’« alternatives ». De nombreux travaux expérimentaux ont ainsi été menés pour identifier et tester d’autres techniques : l’emploi de variétés résistantes aux maladies, l’application de substances d’origine naturelle à effet biocide et/ou stimulant les défenses naturelles des plantes, l’utilisation d’agents microbiologiques de lutte, l’adoption de conduites des peuplements cultivés à visée prophylactique, l’installation de protections physiques. Les résultats restent toutefois dispersés et ces méthodes de lutte peu mises en œuvre sur le terrain.
Issu d’une expertise scientifique collective, cet ouvrage est une synthèse pluridisciplinaire et critique des connaissances disponibles sur le sujet. Il présente et étudie les différentes techniques potentiellement efficaces contre les agents pathogènes contrôlés par les traitements cupriques, et la nécessité de les combiner dans des systèmes intégrés de protection des cultures.

Auteurs :

Directeur de publication Directeur de publication Didier Andrivon est directeur de recherche à l'Institut de génétique, environnement et protection des plantes (IGEPP, Rennes) ; il est membre du Comité interne en agriculture biologique (CIAB) de l'Inca. Isabelle Savini, ingénieurs, travaille à la Délégation à l'expertise, à la prospective et aux études (DEPE, Paris) ; elle est également membre du CIAB.

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Sommaire et contenu du livre "Peut-on se passer du cuivre en protection des cultures biologiques "

Introduction 

1. Éléments de contexte 

Le cuivre : propriétés et utilisations

Les alternatives au cuivre : nature et réglementation

 

2. Les méthodes alternatives à l’usage du cuivre

Les préparations naturelles biocides

Les agents microbiologiques de biocontrôle

Les résistances variétales

Les stimulateurs des défenses naturelles des plantes

L’isothérapie, les préparations homéopathiques et biodynamiques

 

3. La gestion agronomique des risques phytosanitaires

Les méthodes prophylactiques

La protection physique contre les infections

La conduite des plantes et des couverts

Éléments de conclusion

 

4. L’insertion des leviers alternatifs dans des systèmes intégrés de protection

Les évaluations et comparaisons de systèmes de culture

Les stratégies d’acteurs, la mise à disposition et l’acceptabilité des innovations

Éléments de conclusion

 

5. Conclusions générales

Une masse considérable d’information disponible…

… Mais très inégalement répartie entre les champs de recherche et de développement

Des solutions individuelles à effets partiels…

… Mais encore insuffisamment insérées au sein de systèmes intégrés de protection des plantes

Se passer du cuivre : des marges de manœuvre considérables

Plusieurs domaines insuffisamment explorés en recherche, mais cruciaux dans une perspective d’élimination complète du cuivre

Des enseignements à tirer depuis et vers les systèmes dits « conventionnels »

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