Traiter la presbytie

Quel est le sujet du livre "Traiter la presbytie"

La presbytie est inéluctable mais le port de lunettes serait-il la seule proposition disponible ? Traiter la presbytie apporte la réponse à cette question que de nombreux presbytes se posent. Après avoir abordé les différents troubles de l'accommodation, en dehors de la presbytie, ainsi que les substances pharmacologiques qui agissent sur la musculature ciliaire, l'auteur propose une revue systématique des troubles de la vision associés à leur dégradation qui survient avec l'âge. Les principes d'une correction en lunettes pour presbyte sont détaillés, de même que toutes les différentes techniques d'adaptation de lentilles de contact. Traiter la presbytie c'est aussi l'ensemble des interventions chirurgicales qui la compensent : kératoplastie conductive, LASIK monovision, presbyLASIK, lentilles phakes, bipseudophakie, ou cristallins artificiels multifocaux ; ainsi que les différentes techniques chirurgicales de l'accommodation : sclérotomie ciliaire, expansion sclérale, implants accommodatifs... Son abondante illustration apporte des clarifications dans certains domaines techniques. Un index permet au lecteur de s'orienter rapidement dans le texte par l'intermédiaire de mots-clés ou d'idées-clés. Indispensable aux spécialistes de la vision : ophtalmologues, optométristes ou orthoptistes ; il sera également utile aux médecins généralistes, aux gériatres, infirmières... et à tout professionnel qui s'intéresse à la vision, en leur proposant une synthèse complète et prospective de ce domaine. Traiter la presbytie informera également les étudiants de ces filières et répondra à la demande de plus en plus pressante d'un public averti.

Auteur Alain-Nicolas Gilg est ophtalmologue attaché des hôpitaux de Lyon et chirurgien rétractif au centre de la vue Wilson Lyon. Après son DEA, sur le thème de la biocomptabilité du PTFEe (Polytétrafluoréthylène expansé) micro-implanté dans la cornées du lapin en collaboration avec l'unité de recherche de l'Hôtel-Dieu de Paris, il est alors chef de clinique-assistant des Hôpitaux de Lyon, et s'intéresse très tôt à deux aspects de sa profession : enseignement et recherche cliniques dans les domaines de la contactologie (pédiatrique, en particulier) et de la chirurgie réfractive (chirurgie de la presbytie).