De la Grèce antique au xviie siècle, les médecins s'efforçaient avant tout de bien nommer les maladies. Tout change au xviiie siècle.
[lire la quatrième du livre Xavier Bichat]
Les livres de l'auteur paul mazliak
Sous l’impulsion de Descartes, les savants et philosophes du XVIIIe siècle étendirent aux animaux les lois physiques qui organisent le monde. Les deux grands naturalistes Buffon et Daubenton expriment cette philosophie de manière différente dans leurs travaux respectifs.
[lire la quatrième du livre Buffon et Daubenton : deux conceptions de [...]]
Contrairement aux espèces animales où les deux sexes sont généralement séparés, 95 % des plantes à fleurs sont hermaphrodites. Dans l'Antiquité, les plantes étaient souvent tenues pour asexuées. Au XVIIe siècle, les organes génitaux des plantes furent reconnus, notamment par Sébastien Vaillant dans son Discours sur la structure des fleurs (1717).
[lire la quatrième du livre Sébastien Vaillant, Charles Darwin et la [...]]
Le premier essor de l'anatomie s'est produit à partir du IVe siècle av. J : C. Après les travaux de l'école d'Alexandrie et ceux de Galien (129-200), l'anatomie a stagné en Occident pendant des siècles parce que la pratique de la dissection des cadavres avait disparu. En effet, ne dans l'Antiquité, le tabou de la dissection des cadavres a perduré jusqu'à la fin du Moyen Age.
[lire la quatrième du livre Brève histoire de l'anatomie de l'Antiquité à [...]]
Le médecin français Félix Vicq d'Azyr (1748-1794) fut un précurseur révolutionnaire.
En créant l'anatomie comparée, il ouvrit la voie à la théorie de l'évolution et, en étudiant les " maladies des bêtes à cornes " (épizooties), il souligna le lien entre connaissances scientifiques et développement économique de la société.
[lire la quatrième du livre Félix Vicq d'Azyr, créateur révolutionnaire de [...]]
Cette ouvrage présente, pour la première fois et de façon très didactique, les clés pour comprendre la vernalisation (exigence de températures définies, fraîches ou chaudes, pour la mise à fleurs) et le photopériodisme (exigence d'une photopériodicité définie : jours longs ou jours courts, pour la floraison).
[lire la quatrième du livre Le déterminisme de la floraison]