Plus connu pour son fruit, le châtaignier, troisième essence feuillue française, méritait bien un ouvrage sur son bois. Il peut produire du bois de qualité rapidement (entre 30 et 45 ans), il faut le considérer comme un arbre très précieux dès lors qu'il est adapté à la station.
[lire la quatrième du livre Le châtaignier un arbre, un bois]
Longtemps attendu par les sylviculteurs et gestionnaires désireux de cultiver le hêtre < autrement », cet ouvrage va très vite leur devenir indispensable. En effet, le hêtre est de plus en plus demandé par les industries du bois pour les usages nobles. Des usages qui exigent un bois tendre à larges cernes, résultant d'une croissance rapide.
[lire la quatrième du livre Le hêtre autrement]
Le mélèze a aujourd'hui la faveur du forestier comme du grand public.
Ce résineux original, qui se couvre d'or à l'automne et perd ses feuilles en hiver, a longtemps été cantonné aux hautes montagnes alpines, dont il est la parure préférée. Mais voilà qu'il occupe, depuis quelques années, une place sans cesse croissante dans les boisements de plaine et de moyenne montagne.
[lire la quatrième du livre Le mélèze]
Autrefois très répandus dans nos campagnes, les noyers font partie des arbres de grande valeur dont le bois est très recherché aussi bien en France qu'à l'étranger. Malheureusement, depuis plus d'un siècle la ressource ne cesse de décroître et il est urgent de reconstituer ce patrimoine.
[lire la quatrième du livre Les noyers à bois]
